
document pdf sur » Plus belle la vie » mars 2018
PBLV sur wikipédia
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Source Siemens
signia-audition
Article d’ Elisabeth Levy paru dans le figaro du 12 janvier 2018
Elisabeth Lévy article du 12 janvier 2018 paru dans le figaro
#MeToo au pays du « libertinage » : comment la tribune pour la « liberté d’importuner » est vue à l’étranger
Laetitia Casta « pas d’accord » avec #balancetonporc : « Après, ça va être quoi, balance ta salope ? »
l’instant Deneuve : Source Le Monde du 13 janvier 2018
L’instant Deneuve
source : Europe 1 : émission du 12 juillet 2017
Photos:
vidéos :
Quelques adresses de restaurants proposant le pot-au-feu dans Paris ( source : le Figaro, 2015)
Les meilleurs pot-au-feu de Paris ( Le Figaro, 2015)
Communiqué de Presse d’ Emmanuel Macron après le décès de Jean d’Ormesson le 5 décembre 2017
« C’est le moment de dire, comme Mireille à l’enterrement de Verlaine: «Regarde, tous tes amis sont là.» Oui, nous sommes là, divers par l’âge, par la condition, par le métier, par les opinions politiques, et pourtant profondément unis par ce qui est l’essence même de la France: l’amour de la littérature et l’amitié pour les écrivains. Et ce grand mouvement qu’a provoqué votre mort, cette masse d’émotion, derrière nous, derrière ces murs, autour de nous et dans le pays tout entier, n’a pas d’autres causes. À travers vous la France rend hommage à ce que Rinaldi appelait «la seule chose sérieuse en France, si l’on raisonne à l’échelle des siècles».
Publié le 06 Décembre 2017 par Emmanuel Macron après la mort du chanteur le 6 décembre 2017 0 Marnes-la-Coquette
Discours du Président de la République le jour de l’ hommage populaire du samedi 9 décembre 2017
Propos sur le discours pour Johnny d’Emmanuel Macron
Les liens internet depuis le site web de « The Independant », the UK newpaper
Johnny 1
Johnny 2
Johnny 3
Johnny 4
Source : Pierre Ancery : Télérama du 21 novembre 2017
Son histoire est incroyable. Dans le documentaire captivant de David Korn-Brzoza, Jeunesses hitlériennes, l’endoctrinement d’une nation, Salomon Perel, 92 ans, raconte comment, jeune Juif allemand en fuite , il fut arrêté en 1941 par des soldats de la Wehrmacht. A la question des Allemands de savoir s’il était juif, l’adolescent répondit alors que non… et se retrouva enrôlé dans les Jeunesses hitlériennes. Il y restera jusqu’à la fin de la guerre, vivant et combattant aux côtés des nazis. Jusqu’à devenir l’un d’eux : en 1945, apprenant la mort de Hitler, il avoue s’être dit : « Le Führer est mort, tout est foutu. » Son récit, d’une force exceptionnelle, est l’un des dix témoignages d’anciens membres des Jeunesses hitlériennes, désormais nonagénaires, recueillis par le réalisateur. « Mon objectif était de comprendre quelle mécanique peut transformer des adolescents en fanatiques prêts à se battre et à mourir pour une cause », explique le documentariste. S’ils ont aujourd’hui totalement renié leur adhésion au national-socialisme, tous les interviewés expriment la honte et les remords qui les hantent, soixante-dix ans après.
Car le nazisme, ils y ont cru, comme nombre d’Allemands de leur génération, nés et élevés dans le culte de Hitler. « Ils n’avaient aucun autre horizon que le IIIe Reich, raconte David Korn-Brzoza. La presse et les radios étrangères étaient interdites, il n’y avait aucun adulte pour leur dire que c’était mal, que Hitler ne propageait que de la haine, qu’il était dangereux. On leur martelait que c’était une guerre défensive contre un ennemi puissant qui voulait leur perte. » Un endoctrinement dont les Jeunesses hitlériennes, en soustrayant les enfants à leurs familles, furent le principal organe. A partir de 1936, elles devinrent la seule organisation de jeunesse autorisée. Certains interviewés disent garder de bons souvenirs de ces stages d’été où on les faisait randonner en pleine nature et où on leur apprenait le maniement des armes. « Le IIIe Reich a fait les choses intelligemment, hélas, analyse le réalisateur. Il incarnait une espèce de séduction. Ces adolescents avaient un uniforme, ils défilaient, ils étaient acclamés dans leurs villes, ils avaient des responsabilités, un ennemi à combattre. Le régime les flattait, les mettait en avant. Tous le disent, d’ailleurs : ça leur plaisait. » Les images de grands rassemblements ou de séances d’entraînement militaire où l’on découvre ces jeunes galvanisés, prêts à tuer et à mourir pour leur Führer, font froid dans le dos. Et la parole des survivants apparaît d’autant plus précieuse aujourd’hui : « L’islam radical utilise les mêmes ficelles avec les jeunes qu’il cherche à endoctriner, estime Korn-Brzoza. On leur donne un chef, un salut, une cause, un ennemi, une guerre. On leur promet un rêve — et ils auront un cauchemar. »