« Tu seras un raté mon fils » de Frédéric Ferney, éd. Albin Michel, janvier 2015

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Des grands personnages qui ont façonné le XXe siècle, Churchill apparaît comme le plus sûr de son destin et de son génie. Pas une once de doute chez ce fils de famille, célèbre à vingt-cinq ans, tour à tour officier, aventurier, journaliste, ministre, écrivain, peintre… Jusqu’à l’apothéose de la seconde guerre mondiale, qui en fera de son vivant plus qu’un homme d’Etat : un mythe.

Pourtant, ce touche-à-tout égocentrique et généreux, cynique et rêveur, fantasque et indomptable, cachait un secret, une blessure intime que nous dévoile, d’une plume éblouissante, le journaliste et écrivain Frédéric Ferney : le mépris absolu dans lequel le tenait son père.

Ce père trop tôt disparu, Winston cherchera toute sa vie à l’épater et à lui donner tort. En faisant revivre les grands moments d’une existence menée au galop, cette traversée d’une vie extraordinaire explore l’insondable lien entre un père et un fils.

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